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...Merci à Aurelie Gonet du VS Dijonnais pour la photo

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lundi 30 juin 2014

Grimpée du col de l'Oeillon

En vrac :
Samedi 28 juin / grimpée du col de l'Oeillon dans le Pilat.
2ème au scratch en 30'47". Victoire de Cédric Richard en 30'15".
Désolé à Antoine de l'avoir abandonné le lendemain à La Bathie mais la feuille de salade et la carotte ingurgitée la veille ne permet pas aux grimpeurs de résister à des températures inférieures à 20°C...





lundi 23 juin 2014

Grimpée du col de L’Epine : ca pique les jambes !


Dimanche 22 juin. Lendemain de fete de la musique. L’aigle de saint geoirs compte bien donner le ton pour cette grimpée malgré un réveil difficile. Nous partons pour un peu plus de 12km pour 700m de déniv. Avant le départ je vois que le plateau est beaucoup plus relevé que la semaine dernière. La bataille promet d’etre rude.

Le départ se fait au sprint à cause du départ ultra canon de Guillaume Novel, fraichement champion de France CLM en master. Cette fois ci, au prix d’un bel effort, nous sommes 6-7 à pouvoir revenir sur lui une fois la première grosse rampe franchie. Un rythme s’installe sur fond d’exercice de 30/30. Nous perdons quelques unités dans l’affaire si bien qu’un groupe de 5 se forme. A l’approche du final, Yoann Sert place une grosse accélération, Guillaume Novel tourne la poignée à son tour. Je ferai mine de les suivre sur quelques dizaines de mètres mais ils sont trop fort pour moi. Je dois les laisser filer. Je finis les 2 derniers km seul, prenant ainsi la troisième place. Bien content vu le plateau. Devant le niveau reste un cran au-dessus pour pouvoir prétendre à la victoire.

Nocturne Corbasienne 2/3FFC

CE samedi soir se déroulait la nocturne de Corbas. 2 Caciens s'y sont donné rendez vous pour accrocher un dossard : moi (Antoine) et JB. Le circuit, de 5 km de long, ne comporte pas de grosse difficulté s'y ce n'est une bosse d'environ 500 m juste avant l'arrivée.

La tactique n'est pas complexe : il faut suivre . Jb se propose gracieusement de faire le poisson pilote. Chose que j'accepte bien volontiers.  Je reste bien placé toute la course, JB me remontant quand il faut et allant boucher des trous si nécessaires. Il se permettra le luxe de partir en échappé, avortée, pendant deux tours.

Quand à moi je plus actif en fin de course, mais je ne peux accrocher le groupe de costauds qui se dégage a 4 tours de la fin. Rapidement il prennent 50 seconde d'avance, vu les costaud présent devant je pense que c'est cuit... Mais JB toujours me motive pour continuer a mettre du mouvement dans la course. Et c'est chose fait, plusieurs attaques, dont les miennes et celles de JB, maintiennent le peloton dans la course. Si bien, que dans le dernier tour les échappées, s'étant trop regardés, sont à portée de fusils.

Le peloton, sentant la victoire possible, s'excite fortement. Ca frotte pas mal, mais je garde ma place dans le 1er tiers du peloton. AU moment du sprint je n'ai pas vraiment la force pour faire mieux que 25ème. JB lui a mis le clignotant un tour avant.

Pas un très bon résultat. Mais JB et moi avons été relativement actif, un bon signe pour la suite.

lundi 16 juin 2014

Grimpée du col de Tamié

Je suis le seul représentant du club pour cette grimpée dont le départ est à proximité de l’ancien "fief" du CAC. La grimpée fait 8,9 km pour un dénivelé de 546m.


Le départ est très rapide avec une grosse attaque du futur vainqueur Guillaume Novel. Un seul coureur prendra le risque de le suivre mais il le paiera par la suite. Derrière nous sommes un groupe  d’environ 4-5 à chasser. Les sensations sont bonnes à tel point que j’aperçois avec surprise le panneau arrivée 500m alors que je pensais qu’il restait bien plus. Rémi bizzozero place une grosse accélération. Je réagis un peu trop tard. Gilles Tresserre est dans ma roue. Je gagne le sprint de peu ce qui me donne la 3ème place au scratch. Je termine en 23'26".
Des très bonnes sensations sur cette grimpée. Limite déçu d’en avoir gardé sous la pédale.

15/06/14 : GP d'Oyeux UFOLEP

JB à l'offensive !
De retour en UFOLEP, je me rends ce WE à OYEUX. Je suis l'exclusif tenant du titre, et pour cause, il s'agit de la seconde édition, et j'ai remporté la première. On se console de peu! Me voilà avec un objectif, rester l'unique vainqueur de cette épreuve.

Le circuit me convient, il y a une longue bosse roulante. La forme semble revenir, mais cette année la concurrence en UFOLEP est corsée.
Suite à des problèmes de santé, mais aussi suite à un accident qui m'a coûté une clavicule, j'étais en retard dans ma préparation. Alors je sais que je ne suis pas craint, voir même inconnu par certains coureurs. Tout est réuni pour une victoire.

Niveau stratégie, je décide de ne pas prendre de risques, je cours sur tout le monde et je ne laisse aucune échappée se former sans que je ne sois présent. La forme étant là, je devrais pouvoir assumer cette débauche d'énergie, sans avoir à le payer par la suite.

Ainsi, je ne sais pas exactement dans combien de petits groupes je me retrouve avant que l'échappés décisive se dessine. Mais je suis dans cette dernière... Voilà une bonne chose de faite!

La description du groupe est rapide, Philippe Despesse (Fontanil) et moi même ! Pendant un tiers de la course, il faut bien le dire, mes relais sont les plus longs et les plus forts. D'ailleurs je ne calcule pas, les Watts sont au plus haut. 360-380 w dans la longue montée vent de face (que j'assure intégralement) et 360w sur le plat et la descente. À ce rythme et à mon poids actuel, je sais que sur ce type de montée je suis compétitif. D'ailleurs le résultat comptable est plutôt satisfaisant, puisque à moitié course, on m'indique un écart d' 1'20''.

Pour moi à ce moment là, le peloton est découragé, et ne croit plus raisonnablement en ses chances. Il ne me reste donc plus qu'une équation à résoudre: ne pas emmener mon compagnon dans un fauteuil jusqu'à l'arrivée. Alors je change brutalement de stratégie. À présent mes relais seront exactement de la même durée et de la même intensité que ceux de mon unique adversaire.

Hélas, notre avance va fondre petit à petit et nous sommes rejoints par un groupe de trois coureur à deux tours de la fin. Juste avant, j'essaie par trois-quatre fois de me débarrasser de Philippe et vu qu'il me saute assez bien dans la roue, je me dis que j'ai bien fait de me méfier de cet adversaire...

Immédiatement après la jonction, Joris Ronflet (Fontanil) contre sèchement. Un coureur de SMH le suit et derrière nous sommes trois à nous regarder. Et voilà un bel enterrement! C'est trop con! Je prends la décision de ne pas écouter la petite voix qui me dit que ce que j'ai déjà réalisé n'est pas si mal. Alors je sors de ce groupe et je mène une courte chasse sur les deux leaders. La tête de côté, la bave aux lèvres, je me fais mal. Même mes oreilles m'aident à pédaler! Je ne sais pas comment, mais je rejoins les deux coureurs...

Petit bilan, j'ai sauté dans toutes les roues pendant 2 tours. J'ai roulé comme un dératé pendant 6 tours. J'ai poursuivi mon échappée pendant encore 6 tours. Je viens de mettre 3-4 mines au coureur du Fontanil. Je viens de mener une chasse sur deux coureurs bien plus frais que moi... Alors je me demande comment je vais bien pouvoir résister à Joris , meilleur grimpeur du plateau, et qui a pu se réserver toute la course. Me voilà dans de sales draps! Cette équation me semble difficile à résoudre...

Dans le dernier tour, je remarque que Joris laisse trois-quatre mètres dans la bosse. Il ne fait pas grand mystère qu'il va poser une attaque pour nous surprendre. Je laisse aussi un trou, je fais mine de rien, et je freine relativement sèchement. Cela l'oblige à passer. Maintenant en troisième position, dans sa roue, je guette son décollage, et je suis près à en découdre! Il part! Je part! Je resterai à une dizaine de secondes jusqu'à l'arrivée. Quatre minutes de PMA pour conclure. Une torture!

Bravo à Joris. Bravo au Fontanil!

JB

cr photos : TVS

14/06/2014 : GP de Sorbiers 2/3FFC

Ce samedi 14 juin se déroulait la semi nocturne de Sorbier, dans la Loire. Au programme 30 tours de 2km500.
 
M'attendant à un vire-vire, j'ai la "joie" (lire : put@!% quelle mer%µ£) de découvrir un tout autre type de circuit. Il y a une bosse d'environ 1km se montant en deux temps, avec des passages à 13%....
 
Bon, bon.... au moins la tactique est facile : suivre jusqu'à l'explosion du paquet. Le départ est rapide, comme attendu cela explose de partout. Trois coureurs se font la malle. Derrière, c'est la bosse à bloc et en file indienne sur le reste du circuit.
 
Au bout de 20 min, on est plus qu'une trentaine encore dans le coup. Mais je sens que je suis très limite. Normal, le garmin affiche 415 en Pnorm ! je sais que vais sauter dans pas longtemps. Heureusement le rythme baisse pour quelques tours. Mais au bout de 40 min je lâche définitivement prise.
 
Après c'est chacun pour ca peau. je finis pas prendre un tour par les meilleurs (au final seuls les trois premier n'auront pas pris un tour !). Au bout de quelques tours, un groupe se forme avec des coureurs à 1, 2, ou 3 tours, j'y resterais jusqu'à l'arrivée.
 
coté chiffre je fais 26ème (bon à plus de 15min du premier ....), le circuit m'a permis de bien forcer (370 de Pnorm sur 2h). De bon augure pour la suite.

lundi 9 juin 2014

08/06/14 : Championnat Rhône Alpes FFC

Ce dimanche se déroulait le Championnat Rhône Alpes sur le circuit de la course de Montmeyran, organisé traditionnellement en début de saison. Qui dit championnat, dit grosses équipes, toutes les DN1 de la région sont présentes avec leurs meilleures élites. Sur la liste des engagés nous sommes 143. En rajoutant une grosse chaleur et un petit vent du sud, on à un bon cocktail pour une belle galère.

Au départ, je suppose qu'un gros groupe va se détacher d'entrée, les grosses équipes seront représentées et derrière cela fera rideau. Je suis donc vigilant, et je remonte à l'avant. Je suis une attaque, mais elle avorte rapidement. Je me retrouve alors englué dans le peloton. J'aperçois des groupes de coureurs prendre la fuite, j'avais juste.... Un gros groupe se détache.

Derrière le peloton se regarde jusqu'au pied de la bosse. Celle-ci est montée bon train, et dans la grande descente ça bordure au grès des attaques de coureurs piégés. Cela dure comme ça 4 tours. Quand à moi j'ai de plus en plus chaud, je regarde le garmin : 38°c..... Trop pour moi. Je recule dans le paquet au fil des kilomètres. Je subit alors les à coup à cause des chutes, les trous laissés par certains coureurs. Au bout de 50 bornes s'en est trop pour moi, je coule une bielle dans le raidar puis je bache juste àprès la ligne d'arrivée. Mon premier abandon, or problème mécanique, depuis bien longtemps. Au final, c'est B. Sonnery (ancien pro chez ag2r) qui l'emporte. Les écarts reflétant bien la course : un chantier!

vendredi 6 juin 2014

01/06/14 GP de Jarrie 3/PO FFC

Ce dimanche se deroulait le GP de Jarrie, un cicuit court mais dur, la course vue par JB seul representant du CAC:
Il y a une course à Jarrie. C'est pratique ! Mais hélas il n'y a pas grand monde du club.  
Je ne souhaite pas marquer de points (si je devais en être capable) alors je cherche simplement à faire du rythme.
Je décide donc de rester le plus calme possible. D'autant que cette course s'annonce longue et difficile. En effet, 84 kms et 1400 mètres de dénivelé sont prévus au programme. Assez pour m'impressionner...
La bosse du parcours est assez difficile. Il y a tout de même 24 tours et la montée commence par la partie raide. Exactement ce que je n'aime pas. Le contraire me convient mieux.
Au premier tour il y a un coup de pétard dans la bosse. C'était à prévoir. Mais ce que j'avais moins imaginé, c'est que j'avais les jambes pour le suivre. Me voilà piégé par 4 coureurs...
Au second tour, même scénario !
Encore 4 coureurs s'échappent !
Je décide de suivre un gros relais, j'appuie à mon tour, et avec mon accolyte, nous lâchons le peloton, et rejoignons les intercalés.
 
A présent, la tactique est simple, il faut revenir sur le groupe de devant. Et comme il est difficile de s'organiser sur un pareil tourniquet, nous perdons du temps.
Je n'étais pas au bout de mes surprises, car dans la partie roulante de la côte, cela fait deux trois tours que je lâche mes compagnons. Alors je reprends le moral, et m'autorise une échappée solitaire de 10kms, qui ne permettra rien de mieux que de stabiliser l'écart avec le groupe de tête.
Je perds donc le courage, et de toutes façons, le rythme nécessaire à ce petit numéro était au dessus de mes capacités. En effet, 330 w sur le plat et la descente, puis 400 w dans la montée, cela va un temps... 
La fin de course approchant, j'opte pour l'abandon au pied de la dernière bosse. 2h30 de course, c'est bien assez. Je me serais classé entre la 5e et la 9e place après le sprint.

mercredi 4 juin 2014

Gp Corveissiat 2/3 FFC

Résumé (tardif) du Gp de Corveissiat par Antoine :

"Après avoir un peu hésité, je décide finalement d'accrocher un dossard pour ce jeudi de l'ascension. Et pour ça pas trop de chois, direction Corveissiat dans l'Ain.

Sur place je découvre un circuit sympathique, une jolie bosse d'environ 2km  mais pas trop pentue, suivie d'une descente bien technique (3 épingles à cheveux en 300m!). Le circuit est court, 6km, la bosse va revenir souvent et va faire mal!

D'entrée, je suis plutôt actif en prenant part à la course, mais rapidement les jambes me rappellent à la raison. Ma coupure post TGD à fait son effet : +2 kg - 15 W.... Je m'accroche tout de même au moral. Dans le final nous ne somme plus qu'une trentaine. Devant l'archi favori, Rochas, a rattrapé un coureur partit dans le premier tour. Ils iront se disputer la victoire finale, à l'avantage du premier.

Pour ma part, je me dis que je peux accrocher un top 10 ce qui serait pas trop mal payé. Mais a deux tour de la fin j'entends "Psiccchhhhttt", P.... j'ai crevé.... fin de l'histoire !"

lundi 2 juin 2014

39ème grand prix de Feigères (FFC 3/PCO/J)


Je suis le seul représentant du CAC sur cette course qui se dispute non loin de Saint Julien en Genevois dans le 74. Le circuit consiste en une boucle de 4,2 km avec une bosse roulante au début mais qui s’accentue à l’approche de la ligne d’arrivée et surtout, qui se répète 21 fois.

Le départ est assez rapide. Je suis mal placé et les sensations ne sont pas bonnes du tout en début de course. Une cassure va se faire si bien que 8 hommes se détachent du peloton. Nous ne les reverrons plus. La sélection se fait par l’arrière également. A mi-course, je sors du peloton avec un coureur de Seynod très volontaire si bien que nous rejoindrons assez rapidement un groupe parti en contre, slalomant entre les camionnettes et autres tracteurs. L’aigle de Saint Geoirs retrouve alors ses ailes et fait mal dans la bosse. Nous sommes désormais 5 en contre. Les relais ne sont pas très appuyés, l’échappée prend le large.

En fin de course, à l’issue de quelques attaques, nous perdons un coureur. Nous nous présentons à  4 pour la 9ème place. Une arrivée en bosse doit me plaire mais sur la fin de course, les deux bidons sont vides depuis bien longtemps et les crampes se profilent. Les jambes ultra raides, je ne prends que la 11ème place.