La Bourgui

Une fois n'est pas coutume, cette année je serais le seul représentant du club au départ de la Bourgui, une cyclo ou le CAC c'est souvent fait remarquer par le passé. Pas de pluie cette année (le félin n'est pas là) mais de la chaleur et surtout un fort vent défavorable dans le final. Je m'aligne sur le petit parcours (80 km) le départ est simple, le 1er km en montée, puis 20 en descente avec 3 km de faut plat montant au milieu. La meute est lâché à 8h00, je décide de partir sur un bon rythme, mais sans me mettre dans le rouge, en me disant que ça rentrera dans la descente, la jonction avec le groupe de tête ce fait dans le faux plat. Une petite bosse suivi d'une descente technique fera une première sélection, à la bifurcation des 2 parcours (en haut de la petite bosse) je suis dans un 2eme groupe, malheureusement nous sommes seulement 3 a partir sur le petit, un 1er groupe a pris le large et compte une trentaine de seconde d'avance, nous voila donc partis pour une petite chasse, mais nous n'aurons pas de difficulté à revenir, en effet personne ne roule dans ce peloton, au point que d'autre coureur rentre de l'arrière, après 45 km de course, la situation est la suivante, 2 ou 3 coureur devant, puis un 1er peloton d'une trentaine d'élément derrière, donc je fais parti. quelques attaques ont lieu avant d'attaquer la longue montée vers les Ménuires (22km), mais c'est groupé que nous arriverons au pied.
Le futur vainqueur (Nicolas Bouchet) attaque dès le bas, personne ne peut suivre, la montée étant longue, je décide de prendre mon rythme, sans me soucier des autres.
Au final je termine 9eme au scratch, et prend la 3eme place dans la catégorie.
Une course toujours aussi bien organisé, des bénévoles très sympa et une excellente ambiance, pour un plus petit prix que la grande majorité des cyclos.
En fait il ne manquait que le ravito de SuperVivi pour que la journée soit parfaite ;-)

Grand prix FSGT de Civens : une félinade avortée

En ce samedi 20 juillet, je me suis rendu dans la loire pour une course FSGT du coté de Feurs, à Civens exactement.  Jolie surprise en arrivant puisque le circuit ne comprend quasiment pas de plat, parcours idéal pour moi. Il s’agit d’une boucle de 2,7 km à parcourir 25 fois avec une nouvelle fois un adversaire de taille : la chaleur. Un petit 34°C de moyenne pendant la course…

La course part relativement tranquillement malgré une attaque en début de course qui n’ira pas bien loin. Tout le monde a peur de la chaleur. Après 5 tours, j’ai des fourmis dans les jambes et ne résiste pas à l’envie de contrer une attaque. Personne ne va me chercher, je prends rapidement de la distance et c’est à ce moment là où j’aurais une grosse pensée pour le félin et ses échappées solitaires de malade en me disant et si je faisais comme les costauds du CAC ???.... Me voilà donc parti dans un long raid solitaire avec mes deux pauvres bidons déjà à moitié vide au bout de 10 tours.  L’écart va vite monter vers les 45 sec mais je ne parviendrai pas à prendre plus. Derrière un petit groupe de 4 a réagi. A 6 tours de l’arrivée, on m’annonce d’un coup que l’avance a chuté à 25 sec. En plus des crampes qui approchent, je prends un bon coup au moral et décide d’attendre le groupe de derrière. Je vais l’attendre longtemps, bien longtemps… à tel point que je me demande si j’ai pris la bonne décision ou si l’écart était réellement si faible… Bref, peu importe. Les derniers tours se font donc au sein d’un groupe de 6-7 coureurs, certains étant revenus de l’arrière entre temps.  A deux tours de l’arrivée, le futur vainqueur met un bon sac. Personne n’aura les jambes pour le suivre. Puis deux autres coureurs s’intercalent. Dans la dernière bosse, je mets une dernière attaque sans trop y croire. J’évite de peu la crampe mais parvient à fausser compagnie au restant du groupe. Je viens prendre la 4^ème place au scratch et 3^ème dans la caté 1-2. Quelques regrets d’avoir couru comme un cadet car les jambes étaient vraiment bonnes, il y avait clairement mieux à faire.

Grand prix cycliste de la grenette : pas un temps à grelotter !

En ce dimanche 14 juillet, Antoine et Phil avaient bien l'intention de faire parler la poudre dans le peloton cycliste. C'est du coté d'Annecy qu'ils se sont rendus pour le grand prix cycliste de Metz Tessy en 2-3-J. Du bon niveau avec les meilleurs de la région mais aussi un terrible adversaire : la chaleur. Sans possibilité d'avoir de ravitaillement, c'est dans une grosse galère que se lancent nos deux compères pour un circuit de 5.5 km à parcourir 17 fois avec une sacré bosse à parcourir à chaque passage sur la ligne.
Avec toute son expérience de courir cycliste FFC, Antoine brouille les pistes en partant en mode cyclo avec des bouteilles d'eau minérales dans les poches. Une bonne tactique pour tromper l'adversaire (mais qui peut il encore tromper maintenant qu'il est connu dans la France entière ?...). Néanmoins, 2 courtes nuits les deux jours précédents ne le mettent pas dans les meilleures conditions.
Le début de course se compose de multiples attaques mais rien ne se dessine très clairement. La sélection se fait par l'arrière. Phil et Antoine doivent boucher des trous, un exercice qui peut s'avérer agréable dans certaines conditions mais nettement moins quand il s'agit d'un peloton lancé à 50 à l'heure. Dans ces cas là, le "Antoine Angot" s'avère très utile. Après avoir pété dans la bosse, il suffit d'appuyer sur le bouton pour rentrer en 2 minutes sur le grou
pe de devant. Un petit merci au passage.
Sur la fin de course, 3 coureurs se font la male mais seront partiellement repris. Au final, après toujours d'éternelles contre attaques, 3 nouveaux coureurs finiront détachés à l'avant du peloton. Antoine et Phil garderont contact avec le groupe de tete réduit sur la fin à une vingtaine d'unités. Antoine, ne sentant plus le bout de ses doigts, décide que la limite vient d'etre franchie et bache. Phil terminera la course dans le premier peloton avec des crampes et prendra la 16ème place. Avec un peu plus d'eau dans le corps, il y avait une bonne gache à aller chercher à savoir une 4ème place. Dommage.
Sur le retour, nos deux guerriers ne se sont pas laissés abattre et ont craqué pour un gros magnum l'histoire de faire le métier jusqu'au bout !

PS : pardon pour ce jeu de mot pourri mais j'avais pas mieux.

source : cran cycles. Nos deux CACiens dans la bosse

Championnat National FSGT:le félin passe à côté

Dimanche 14 juillet, jour de la fête nationale se déroulait le championnat de France FSGT à la Guiche en Saône et Loire. Je me présente seul du Cac(le félin)mais accompagné par deux autres savoyards. Nous sommes 110 coureurs au départ pour 96km(parcours à faire 7fois) avec tous les champions départementaux et régionaux donc du très beau monde que nous avons côtoyé lors de nos différentes courses à étapes Fsgt.
Le départ est rapide et une échappée de 5 se forme avec des favoris ,personne ne bouge alors je décide de partir à la chasse et comme d'hab personne ne viens avec moi. Je ne ferais pas la liaison et le peloton reviendra sur ces 5 échappées. Le reste de la course sera une succession de petites échappées avec les différents favoris dont je ferais partis mais rien n'aboutira. Et à deux tours de la fin 4 hommes se détacheront et n'étant pas marqués fileront vers la victoire ,à noter qu'un des mes collègues savoyards en fait parti et finira 4ème. Moi j'essaye encore quelques attaques mais personne du petit peloton restant me laissera partir. Le moral étant dans les chaussettes je finirais au cul du peloton et apprendrais à l'arrivée que j'étais un dossard très surveillé!
le félin

Grimpée de l'Alpe d'Huez

Comme tout les ans, au lendemain de la marmotte, une grimpée chronométré est organisée dans le célèbre montée de l'Alpe d'Huez, et cette année je décide de m'y aligner, je serai donc d'unique représentant du CAC pour cette montée, une énorme pression repose donc sur mes frêles épaules.
Près de 250 partant des 4 coins de l'Europe, du haut niveau.
Je connais bien cette montée et je sait comment la gérer, n'ayant pas eut le temps de m'échauffer, je décide donc de partir prudemment mais sans pour autant perdre trop de temps, et de hausser le rythmes après passer le village de"La garde".
Je termine donc a la 35eme place, a moitié satisfait car un dérailleur capricieux m'a forcé a monter avec un braquet mal adapté et qui je pense me coûte du temps.
A noter que la descente ne c'est encore plus mal passer puisque j'ai percé a l'avant et à l'arrière et que tout le nécessaire pour réparer était dans la voiture.

Week-end dromois

 CE Week-end, le CAC (et un intrus...) s'était donné rendez-vous dans la Drôme. Non pas pour accrocher un dossard mais pour une jolie sortie collective suivi d'un bon barbecue !

Mathis : l'homme de l'ombre du CAC ....

Pour le samedi, il était prévu un sortie dans le Vercors, mais au vue du temps menaçant il a été décider de filer plus au sud, dans la drome provençale via le col de la chaudière (Eh oui!). Après une jolie montée et descente (notamment de Philou). Nous nous somme dirigé vers Dieulefit via Crupie. Les relais passe bien malgès un vent bien présent. Finalement le retour ne ce fera pas par la face sud de la Chaudière, toujours a cause d'un ciel bien gris sur les sommets. Cela ne fut pas pour déplaire a tout le monde!

Parcours:


Le deuxième jour une petite sortie c'est faite. Au programme un tour dans la vallée puis un retour via Beaufort et le col de croix. C'est l'occasion pour tout le monde d'évacuer les excès la veille au soir ....

Parcours :



le WE en résumé :

De l'alcool un peu (il faut bien boire les bouteilles gagnées non ?!?)
Des cacahuètes beaucoup ( faut bien manger non ?!?)
Du vélo passionnément (Faut bien évacuer non ?!?)
Des rires à la folie (faut bien se marrer non ?!?)
de la mauvais humeur pas du tout ( sauf peut être mathis après mon "petit relais" ...)