20/10/2013 : Grimpée du MURier le matin / Destruction d'un MUR l'après midi

Si vous ne comprenez pas la blague, passez directement à l'article suivant. Si, après lecture, vous ne comprenez toujours pas, je ne peux rien faire pour vous...
En ce dimanche 20 octobre, pas question de trainer au lit ou encore de rester au sec à regarder les feuilles tomber, l'aigle de Saint Geoirs a rendez vous avec son histoire (oui j'en rajoute un peu pour tenir mes lecteurs en haleine). Il doit défendre sa première place provisoire au challenge des grimpées grenobloise. Il pleut des cordes le matin meme à quelques dizaine de km de Grenoble mais qu'importe, les ailes de l'aigle sont hydrophobes (oula ca devient compliqué là...).

Chrono de Jardin

Comme ce fut le cas en 2012, céline Sculler ( VC froges Villard-bonnot ) Phillou et moi avons décidé de reformer la même équipe pour cette édition 2013.

Clm de Paladru 2013

Samedi 5 octobre se déroulait le fameux Clm de Paladru ,4 caciens étaient au rendez vous parmi eux Antoine,Fabio,le félin et pour son premier Clm la Présidente.

Grimpée Raymond Odezenne

Ce samedi 28/09, je retrouve l'un des homme en forme du moment au CAC, Phil, pour participer à la première grimpée Raymond Odezenne, organisée par le CC Gières, une grimpée sous forme de clm individuel de 11 km, au départ de Murianette et donc l'arrivée est jugée au Pinet d'Uriage. Une grimpée assez technique avec beaucoup de changement de rythme, un départ plutôt costaud, une partie intermédiaire avec des portion très roulante et un final très dur dans les 500 dernier mettre.
Phil est le premier de nous deux à s'élancer, il réalise alors le temps de référence en 28mn57,qui sera malheureusement amélioré plut tard, il terminera finalement au 5eme rang.
Je m'élance un peut plus tard à mon tour et boucle le parcours en 30mn34, soit le 11eme temps.

Une organisation très réussi pour cette première, avec 135 coureur au départ, une belle météo, même si le soleil était un peut timide, et un parcours très bien sécurisé.

WE Dromois pour le CAC

CE WE du 21/22 septembre 2013, une partie du CAC s’est délocalisé sur les routes de la Drôme.

 

 GP de Châteauneuf du Rhône  3FFC SAMEDI 21/09/13

J’ai été (Antoine) le seul représentant du CAC pour cette sympathique course en circuit de 90km. Tiens parlons en du circuit. Il était composé de deux bosses, une très roulante et une autre plus longue et granuleuse se montant par pallier. Mais en plus de cette dénivellation, c’est surtout le vent qui va jouer un rôle prépondérant dans le déroulé de la course.

Dès le départ ca fuse dans la grande bosse, montée vent de dos. Je me joins un peu à la fête car je sens que le vent va vite faire la sélection et autant être devant quand cela va casser. C’est ainsi que je me retoruverais en chasse patate, avec un autre coureur, à moins de 10 secondes d’un groupe de 7 coureurs. Toutefois le peloton n’est pas loin lui non plus et surtout il est tiré par un junior qui semble avoir les jambes pour ne laisser partir personne. Je me dis donc : «  te crame pas, il costaud et va tous ramener », mais quenéni une fois revenu sur nous il coupe son effort. L’échappée file alors aux loin et je comprends immédiatement que c’est la bonne.

La suite de la course est simple, le peloton et secoué de période intense mouvement puis de retour au calme notamment sur l’impulsion du fameux junior. Au fil des tours le peloton s’amaigris. A 20 bornes du but, sur une énième attaque on ne se retrouve plus que 5  en tête. Enfin jusqu'à la dernière où tout explose.

Au final je passe la ligne en 12^ème position, un peu déçu mais revanchard pour le lendemain.

 

Cyclo la drômoise 116 KM DIMANCHE 22/09/13

Mathis et Franck m’on rejoint le samedi soir à Montclar sur gervanne (merci Maman…), non sans avoir dabords récup LEUR dossard J, mais ramené des cahuèt et bières pour se faire pardonner.

Donc levé 6H, rally sur les petites route de la drômoise a 7h30 et arrivé 8h à DIE. Echauffement zappé ou presque et direction la ligne d départ pour 9 h. Dès le départ sa roule vite. Deux coureurs sont partis d’entrée. Franck Mathis et Moi, somme bien placé jusqu’au rétrécissement de Pontaix. Après c’est plus difficile pour Mathis, qui sera ralenti par deux chutes successives. Franck tien bon jusqu’au premier lacet avant St Nazaire le désert. Dans cette petite bosse une sélection s’opère, je suis devant mais il a fallu  lâcher un peu de Watts (430 sur 4 min).

Après une petite descente on attaque le plat de résistance, le col des Roustan. Dès les premières pentes, les groupes se forment. Je me retrouve dans le groupe de chasse derrière les fuyards de la première heure. Franck et Mathis sont dans des groupes justes derrière. En haut de la première partie on se retrouve donc à 10, le rythme a été soutenu mais sans plus (10 min @ 380W), mais il faut relancer de suite dans une descente qui ne permet pas de se reposer. Dès l’attaque de la deuxième partie du col on commence à apercevoir l’échappé. Dans mon groupe cela s’excite un peu, finalement au coup par coup 5 coureurs rentrent sur la tête, mais sans moi car je bascule à 20 secondes de ce groupe en haut des Roustants. Je m’en veux un peu d’avoir hésité trop longtemps car je sais que j’aurai du mal a combler le trou dans la descente.

Je me fais donc rattraper par un petit groupe derrière, on se retrouve à 5 pour chasser. Ca collabore pas trop mal mais le rythme est beaucoup trop faible pour pouvoir espérer rentrer sur la tête. Dans la vallée vent de face on avance à un rythme moyen, et la sanction tombe. Pas loin de 4 minute a la séparation des parcours… Ouch… Mais bonne nouvelle il n’ya qu’un coureur qui bifurqué vers le 116 KM, on peut être rentré si il s’écroule.

Derrière un gros groupe s’est formé avec Franck. Mathis devra lui composé avec des coureurs moins fort pour rouler avec lui.

Pour moi devant, je commence a sentir que l’on ne va jamais revenir sur la tête notre rythme n’est pas assez soutenu dans la dernière bosse (330 W dans les derniers Km du col de prémol). Après une descente relativement rapide je decide d’embrayé dans une petite bosse. Et ON ne se retrouve plus qu’a trois, mais c’est trop tard le premier a encore 3 min d’avance et le vent de face n’est pas assez prononcé. Je me dis malgré tous qu’il faut finir fort, je décide donc de prendre des gros relais jusqu’l’arrivée 20 km plus loin. A l’arrivée j’aligne au sprint sans trop de soucis mais compagnon d’un jour pour une deuxième place.

Franck et Mathis arrive dans les deux groupes juste derrière, pour une performance correct faite avec les jambes du moment.

En conclusion toujours un CACIEN sur le podium à la drômoise, mais toujours pas sur la première marche !

dimanche 15/09 : GP de Parilly (FSGT)

Le pire ennemi du cac semble être lui même : 2 gouttes d'eau et me voilà tout seul au départ de la course de parilly.
Située près d'un hypodrome, le circuit ne présente pas de difficulté et favorise les gros rouleurs.

C'est à 15h30 qu'un speaker en verve lâche une quarantaine de bourrins. Je fais beaucoup d'efforts et à la suite d'une tentative avec le favoris des bookmaker je dois laisser filer 10 coursiers.
Notre rythme s'approche alors de celui d'un cheval de trait en fin de vie et les fuyards comptent jusqu'à 1'30 d'avances. Quelques coureurs commencent alors à s'exciter et nos efforts nous permettent de revenir sous les 30 secondes.
Comme ready cash dans le grand prix d'Amérique 2012 je décide de faire le mort avant de mettre un gros sac pour rentrer sur la tête. A la suite d'une poursuite mords aux dents et l'écume aux lèvres me voilà en tête de course.

Malheureusement tout le monde semble cuit et nous nous faisons reprendre à 1 tour de l'arrivée qui se conclue par un sprint final

 

Mathis B.

dimanche 22/09/13 : GP de Voreppe

Ce WE, inutile de vous comptez des histoires romanesques. L'Uc voiron nous propose un vire vire, qui présente tout ce qu'il y a de plus classique. Tous les bûcherons de la catégorie pass cyclisme sont présents. Ici on méprise les cyclos partis faire briller leur cadre à 3k€, après avoir avalé une carotte et un yaourt à 0%.

Ce ne sont donc pas 60 poètes qui s'élancent à 10h30, mais bien 60 hommes bien virils. Quelques uns avaient gardés les poils pour encore durcir le tableau.

Pour la petite histoire, votre narrateur a bien évidemment appris ce départ matinal ... le matin même. Passons, car je suis certain que les commentaires aigris viendront à ce sujet, et pour info, je propose à mes détracteurs d'en faire des suppositoires que je pourrais leur placer à l'endroit approprié.

Après 748 craquements de dérailleurs, 8 "à droite!", 6 "à gauche", 4 "serre pas", 1 "ta gueule", un petit groupe de quatre coureurs se détache. J'en fais parti. Ca relaies pas trop mal pendant une dizaine de km. Mais malheureusement ce groupe sera rejoint par 4 autres coureurs qui ne collaborent pas! L'un d'eux osera même me rétorquer que j'avais qu'à rouler alors que c'était précisément ce que je faisais depuis un bon quart d'heure. Visiblement certains cyclistes trouvent cela tout à fait légitime de se faire promener à l'avant de la course sans aucune contre partie, et sans être dans l'incapacité de prendre sa part de travail! Passons encore sur ce genre de logique que personnellement je ne comprends pas!

Évidemment cette équipée est revue, et naturellement c'est une contre attaque qui sera le bon coup. Pendant plus d'une heure, deux coureurs seront à 35-45 secondes. J'essayerai deux ou trois fois. Mais les équipiers des deux leaders veilleront.

A 10 km de la fin l'écart fondra subitement, et, à 5 km nous les rattraperons. C'est donc un sprint massif qui se prépare.

Miam miam!

Sauf que je serai d'abord percuté à droite et mon système cintre+roue avant volera de 30cm sur la gauche. Je me suis vu par terre! Mais ce n'est pas parce que l'on est habillé en rose, qu'au CAC, on est impressionnable. Alors je me ressaisis, essayant tant bien que mal de me replacer, et de ne pas penser à la chute.

Mais le coup de grâce arrivera par la gauche, de la même façon, alors que je me sentais frais, puissant et placé. Je laisserai deux rayons et mes espoirs à 500 mètres de la ligne.

Jb

Grimpée de Chaussan

En ce samedi 14 septembre, je me suis rendu dans les monts du lyonnais à Chaussan pour y disputer une grimpée chrono. Le mot "grimpée" est meme limite puisque seules les 10 premières minutes feraient plaisir à un vrai grimpeur. En chiffres, cela donne 14.4km pour 400m de dénivelé. Pas de quoi faire réver l'aigle de saint geoirs mais bon...
A l'échauffement, je me rends vite compte... que je me suis trompé de vélo. Les nombreux faux plats auraient mérité l'usage d'un vélo de CLM. En effet, la moyenne a l'arrivée me donnera raison. Plus de 30km/h. Les conditions météos sont quasi optimales, la pluie va me laisser tranquille cette fois ci mais il s'en est fallu de peu.
Les sensations sont bonnes, je gère mon effort correctement, la vitesse est au rendez vous. Meme en étant sur une grimpée, il faut faire attention à ne pas se vautrer dans les virages puisque la dde a pris soin d'asperger quelques portions de routes de leurs traditionnels petits cailloux qu'ils affectionnent tant. En dehors de ça, le circuit proposé était vraiment top avec des routes à faible fréquentation.
Au final, le temps est bon : 28min7sec. Je prends la 2ème place au scratch derrière l'incroyable Julien Liponne qui pulvérise le record détenu jusqu'alors détenu par Antony Cheytion. Si ma mémoire est bonne, le nouveau record à battre est à 26min19s !!! Un autre monde.
L'année prochaine, je fais le test avec le vélo de chrono !

Championnat régional clm

Ce dimanche 14 septembre, je me suis rendu a Saint Vulbas, dans le département de l'Ain, pour y disputer le championnat régional FFC de contre la montre. J'arrive sur place deux bonne heures avant celle de mon départ, le temps de prendre mon dossard et de me préparer, je décide de partir faire un tour de circuit pour faire une reconnaissance, plutôt que de m'échauffer sur home-trainer. Le parcours ne présente aucune difficulté, tout plat, de grande ligne droite, et aucun virage piège à négocier et pas un poil de vent.
Un vrai parcours pour rouleur, ou il faut emmener du braquet et générer beaucoup de vitesse, tout ce que je ne suis pas...
Ayant fait l'erreur de partir trop fort l'an dernier, je décide de partir plut prudemment, malheureusement je sent rapidement que les jambes ne répondes pas et que j'aurais du mal à accélérer dans la 2eme partie, notamment dans les 8 dernier km ou ont retrouve une belle route. De plus les longues ligne droite force à rester en position sur pratiquement la totalité du la course, et le manque d'entrainement avec le vélo de clm cette année ce fait ressentir.
Au final je termine les 26 km en 37mn, a 42 km/h de moyenne (112eme sur 150, et en milieu de tableau dans ma catégorie) loin des plus fort, puisque le vainqueur tournera à près de 50 km/h.

We du 7/8 septembre

En ce WE du 7 et 8 septembre le CAC était présent sur plusieurs fronts.

Le samedi .

A la grimpée du St eynard, Philou montre que les jambes sont toujours bonne puisqu’il va chercher une jolie 6^ème place

http://essmcyclisme.fr/montees/steynard2013.htm

Moi et JB avions plutôt décidé de poser nos roues sur les routes de Belley dans l’Ain en 3 FFC, accompagnés d’environ 70 coursiers. Le tracé du circuit est particuliers, puisque il est composé d’une descente technique débouchant sur des petites routes, si bien que seule la bosse du circuit (1km5 assez roulant) dispose d’une route large.

 Dès le départ le rythme est soutenu mais aucun coup ne prendra le large. Après quelques tentatives infructueuse, je décide d’attendre le final en vue d’un sprint. JB lui reste bien caler dans le peloton au fur et mesure que l’écrémage s’opère.

Malheureusement, un groupe de 14 coureurs arrive à prendre quelques secondes d’avance. Et Malgré une jolie dernière bosse je viendrais mourir sur la ligne d’arrivée juste derrière eux pour la 15^ème place. JB lui victime d’une cassure dans le dernier tour arrivera quelques secondes plus tard.

http://www.rhonealpescyclisme.com/images/Route/resultatsroute/Belley07092013/Belley_3JPCO_07092013.pdf

Le dimanche

Philou, en coureur complet, a doublé pour se battre contre la montre à Corbas. Au final entre les gouttes, il va se classer 27ème à tout de même 42.5 de moyenne.

Quand moi je double également mais au Gp d’ardoix avec Mathis cette fois-ci. Le circuit long de 9 km, présente des petites routes sinueuses avec des petits « coup de cul », une descente assez technique et une bosse bien roulante pour rejoindre  l’arrivée. Dès le deuxième tour je m’échappe en compagnie de deux autres coureurs, très vite notre avance atteint 1 min.

Mathis, quand à lui, a plus de mal dans la course Pass. En effet mal placé dans la descente il fera les frais d’une cassure dans la bosse. En peu dépité il mettra la flèche un peu plus tard.

Sur la course trois, les choses se gâtent. Non pas pour notre échappé, qui a toujours une grosse minute d’avance, mais pour la météo. Un gros orage détrempe en totalité le circuit, ce qui était prévisible vue le ciel menaçant à l’horizon. Mais je me dis que c’est une chance pour nous. En effet, la pluie désorganise totalement la poursuite si bien que l’on ne sera jamais rejoint. Dans le dernier tour je sens que je suis encore très frais, malgré les 60 km d’échappée. Au pied de la dernière bosse je me laisse descendre du groupe afin de placer une grosse attaque. Mes poursuivants ne rentreront jamais sur moi et j’irais cueillir, sous la pluie, mon deuxième bouquet de la saison en FFC ( et également un pot de crème de marron pour ne rien gâcher !)

http://www.rhonealpescyclisme.com/images/Route/resultatsroute/Ardoix08092013/Ardoix_3Jun_08092013.pdf

1er week end de septembre

Quelques résultats en vrac de ce we pour l'aigle de saint geoirs (ouais c'est fini la modestie)

- samedi chrono de manissieux : 9 au scratch  et 3 dans ma caté d'age. Victoire d'Antony Cheytion

- dimanche prise de la bastille : pour l'occasion j'ai honoré pour la première fois de ma vie un 28 à l'arrière ca fait bizarre. Un temps de 8min59s dans la première manche puis de 9min6s dans la deuxième. A noter que j'ai réussi à crever dans la montée de la deuxième manche ce qui doit constituer un nouveau record en terme de malchance... Bref 5 au scratch et 2 de ma caté d'age.

Grand prix d'Echalas : cha l'a fait !

En ce dimanche 25 aout, le CAC avait fait le déplacement à Echalas dans le rhone pour une course FSGT. L’équipe est composée de Antoine (fullpower man), Mathis (jailesmolletsquitouchentlesportesbidons man), JB (jaipasfaitdevélodepuis3semaines man) et Phil (legrascasertàrien man). La boucle fait environ 8km avec une bonne bosse en plusieurs paliers à effectuer 8 fois.

Une fois n’est pas coutume, c’est Phil qui sera le leader pour cette course comme quoi même les porteurs d’eau ont une chance de briller un jour ou l’autre. Le but est donc de s’économiser au moins pendant les deux premiers tiers de la course, laissant le soin aux coéquipiers de contrôler les attaques. Le début de course est assez tranquille, un homme se détache mais ne prendra pas une grosse avance (30 sec max je crois). Antoine et JB contrôlent les attaques. A 4 tours de l’arrivée, les hommes forts commencent à s’énerver et de réelles attaques surviennent. Il ne faut pas jouer à ce petit jeu là avec Antoine Angot qui appuie alors sur le bouton « power ». Bien calé dans sa roue, Phil est emmené dans un fauteuil. Derrière c’est un vrai chantier et un groupe de 5 va se former à l’avant. Les relais sont bons au début mais un peu moins sur la fin de course si bien qu’un petit groupe reviendra. Peu importe, une attaque survient dans la dernière bosse. Bien protégé jusque là, Phil pourra contrer et partir avec tout de même un costaud dans le porte bagage mais qui ne pourra prendre aucun relais. A quelques centaines de mètres de l’arrivée, le concerné m’assure qu’il ne fera pas le sprint. Il tiendra parole et Phil s’impose finalement pour rapporter une nouvelle victoire au CAC.

Antoine finit en roue libre dans le groupe d 'échappés. Mathis et JB bâchent à mi course en manque de compétition. Il faut préciser que JB a légèrement forcé sur les cacahuètes cet été mais il promet de revenir en forme pour… le dernier CLM de la saison.

Un grand merci à Antoine pour le gros travail effectué. Une nouvelle fois c’est une victoire collective (oui je sais c’est beau, j’aurais pu remplacer G. Holtz). Et un petit merci à JB aussi sans quoi il va etre vexé, déjà frustré cette saison par le manque de reconnaissance de sa deuxième place au général du TDG ;-)

Pas aussi doué que JB pour parler au micro mais bon..

 

PS : la veille, Antoine a couru au grand prix d’Autrans en 1,2,3 FFC sous le déluge. Il crève à 2km de l’arrivée alors qu’il était dans les 20. Phil a fait la grimpée de la Sure le matin et finit 2^ème au scratch à un vélo de la victoire.

LeS MontS Ventoux

Dimanche 11 août, 4 Caciens ( Franck, Fabio, Philou et Moi) accompagnés de deux féminines extérieures (Céline S. et Antoinette G.) se sont donnés RDV à Malaucène pour un défi un peu fou. A savoir, grimper le Fameux Ventoux par les 3 versants ( Bédoin, Malaucène, Sault).

A près un petit échauffement dans le col de la madeleine, notre joyeux groupe s'élance vers Bédoin pour commencer par la face la plus mythique du mont chauve. Dès le virage de St éstève notre groupe se cale à un train de sénateur, et double des cyclos venus affronter le géant de Provence. Au fur et à mesure de cette première ascension, tout le monde monte à son rythme. Après un arrêt à chalet Reynard, notre groupe repart groupé vers le sommet. Heureusement pour nous, cette fois ci le  ventoux porte mal son nom et les conditions sont plutôt clémentes. Une fois en haut, on peut constater au vue du monde présent, le mythe que constitue ce (très) gros tas de cailloux.

Après une descente rapide vers malaucène, tous le monde se restaure (de manière plus ou moins diététique... une quiche entre deux Ventoux! ....).

La deuxième ascension se fait sous une chaleur plus pesante, et la longue rampe avant la station du mont Serain fait mal à tout le monde. Mais notre groupe se retrouvera bien haut pour la deuxième fois. Là notre groupe se divise. Franck, ayant des impératifs, décide de rentrer, nos féminines Antoinette et Celine, repartent dans la descente  vers sault mais s'arreteront à mi-pente, Philou,  fabio et moi on repartira pour une montée complète depuis Sault. Cette face est bien moins pentue, de plus la route viens d'être refaite, le goudron est nickel. Philou, bien en jambe prends des gros relais ( enfin 1, d'une heure.....). Notre groupe file bon train, je repasserais même la plaque avant Chalet Reynard (pas mal pour une 3ème ascension). Une fois le paysage lunaire typique atteins, notre groupe  lache les chevaux. On arrivera  un par un au sommet, tous content d'avoir vaincu trois fois le mont ventoux !

en chiffre sa donne 145 Km pour 4500 m de D+ et 6 h30 de selle

Grimpée du stade de neige à Lans en Vercors

En ce 15 aout, Fabio et Phil se sont rendus à la grimpée du stade de neige depuis Lans en Vercors. La course se divise en deux épreuves : un chrono le matin puis une mass start l’après midi. La grimpée à effectuer est relativement courte (environ 5 km) avec tout de même 320m de D+.

Le matin, Phil part dans les premiers. Les conditions sont idéales pour faire un bon temps. Ce sera le cas puisque le précédent record de la grimpée est battue de 5s : 14min29s . Par la suite, David Polveroni ainsi que Claude Costechareyre feront mieux. Je me classe donc 3^ème au scratch. Fabio améliore lui aussi son temps de l’année passée en 15min54s et se classe ainsi 8ème.

L’après midi, seul Phil poursuivra la course. Il apprendra avec stupeur que le bon temps du matin n’aura servi à rien si ce n’est… à partir dans un sas prioritaire. Le général sera pris uniquement sur cette deuxième course. Alors que de nouveaux concurrents sont arrivés pour s’aligner uniquement sur cette deuxième épreuve. Drôle de manière de raisonner. A croire que faire une grimpée à bloc le matin ne laisse pas de traces d’après les organisateurs. Un peu énervé, l’"aigle de saint geoirs" part le couteau entre les dents et compte bien montrer du rose. Le départ est bien rapide comme d’hab. Les cassures se font vite mais une fois n’est pas coutume je suis bien placé. Suite à une attaque de David Polveroni, un petit groupe se forme à l’avant mais va vite éclater. J’adopte alors la méthode du félin. Pas de panique et ca revient assez vite bien calé dans la roue de Claude Costechareyre. Nous allons reprendre un à un tous les concurrents sauf un… qui n’était pas là le matin bien sur.

Je finis donc 3^ème au classement général et deuxième de ma caté d’âge. De bonne augure pour les grimpées de septembre.

 

Tous les résultats ici : http://www.teamvercors.com/organisations_2013/inscriptions_15_08.html

Départ pour la deuxième étape



 

Tour des "Alpes"

Ce samedi quatre Caciens s’étaient donnés rendez-vous pour un tour dans les montagnes de l’Oisan.

Ainsi après un bref échauffement, Mathis « Padrnos » Bugni, Francky (prêt a remplacé L. Jalabert comme commentateur sur FTV), Philou « 53*11 » et moi (Antoine) « Blond mais pas Hollandais pour autant », nous nous somme attaqués à la grimpée mythique de l’Alpe d’huez. Dès les premières rampe, la foultitude de cyclistes zigzagant plus ou moins sur le bitume prouve qu’il s’agit là d’une montée particulière.

La première partie s’effectue sous un train de sénateur par M. Bugni en personne. Peu après la Grave (et un garçon Hollandais d’à peine 10 ans seul et  à la dérive en plein milieu de la pente …), le groupe rose se scinde en deux, car Philou et moi maintenons un rythme un peu plus soutenu jusqu’ en haut de la station. Peu après Mathis et franck, maintenant presque bilingue en Nolandais, passe la ligne délimitant la grimpée de chrono de l’Alpe. Une fois la jolie visite guidée de la station offerte par Francky, notre groupe s’est dirigé vers la jolie route pastorale menant au col de Sarenne. Après une petite grimpée, notre groupe s’est élancé dans la belle descente vertigineuse vers la vallée.

Quelques kilomètres plus loin et quelques centaines de mètres plus bas, nous somme arrivés au barrage du Chambon. Et après avoir montée l’Alpe d’Huez, notre petit groupe est motivé pour montée dans la station voisine et rival des 2 Alpes. Dès le départ, j’imprime un rythme relativement soutenu fatal à Mathis, puis a Franck (qui cherche encore le signal de mon P2M ). Seul L’aigle de ST-Geoirs (oui Philou aime qu’on l’appelle comme cela) reste collé à ma roue. Le bougre profitera même de mon p’tit coup de moins bien pour me planter a 2km de l’arrivée, j’irais toutefois puiser dans mes réserves pour venir lui faire le panneau d’arrivée des 2 Alpes (on n’attend toujours la photo finish !).

Une fois tous le monde regroupé, un ciel menaçant nous incite à se diriger promptement vers le retour par une descente ponctuée par un joli passage au cœur des falaises de l’Oisans. UNE fois dans la vallée les relais s’enchainent vite pour éviter l’orage. Finalement on ne prend la grêle que pour le retour (en voiture) sur Grenoble, donc au final une belle journée de Cyclo !

La Bourgui

Une fois n'est pas coutume, cette année je serais le seul représentant du club au départ de la Bourgui, une cyclo ou le CAC c'est souvent fait remarquer par le passé. Pas de pluie cette année (le félin n'est pas là) mais de la chaleur et surtout un fort vent défavorable dans le final. Je m'aligne sur le petit parcours (80 km) le départ est simple, le 1er km en montée, puis 20 en descente avec 3 km de faut plat montant au milieu. La meute est lâché à 8h00, je décide de partir sur un bon rythme, mais sans me mettre dans le rouge, en me disant que ça rentrera dans la descente, la jonction avec le groupe de tête ce fait dans le faux plat. Une petite bosse suivi d'une descente technique fera une première sélection, à la bifurcation des 2 parcours (en haut de la petite bosse) je suis dans un 2eme groupe, malheureusement nous sommes seulement 3 a partir sur le petit, un 1er groupe a pris le large et compte une trentaine de seconde d'avance, nous voila donc partis pour une petite chasse, mais nous n'aurons pas de difficulté à revenir, en effet personne ne roule dans ce peloton, au point que d'autre coureur rentre de l'arrière, après 45 km de course, la situation est la suivante, 2 ou 3 coureur devant, puis un 1er peloton d'une trentaine d'élément derrière, donc je fais parti. quelques attaques ont lieu avant d'attaquer la longue montée vers les Ménuires (22km), mais c'est groupé que nous arriverons au pied.
Le futur vainqueur (Nicolas Bouchet) attaque dès le bas, personne ne peut suivre, la montée étant longue, je décide de prendre mon rythme, sans me soucier des autres.
Au final je termine 9eme au scratch, et prend la 3eme place dans la catégorie.
Une course toujours aussi bien organisé, des bénévoles très sympa et une excellente ambiance, pour un plus petit prix que la grande majorité des cyclos.
En fait il ne manquait que le ravito de SuperVivi pour que la journée soit parfaite ;-)

Grand prix FSGT de Civens : une félinade avortée

En ce samedi 20 juillet, je me suis rendu dans la loire pour une course FSGT du coté de Feurs, à Civens exactement.  Jolie surprise en arrivant puisque le circuit ne comprend quasiment pas de plat, parcours idéal pour moi. Il s’agit d’une boucle de 2,7 km à parcourir 25 fois avec une nouvelle fois un adversaire de taille : la chaleur. Un petit 34°C de moyenne pendant la course…

La course part relativement tranquillement malgré une attaque en début de course qui n’ira pas bien loin. Tout le monde a peur de la chaleur. Après 5 tours, j’ai des fourmis dans les jambes et ne résiste pas à l’envie de contrer une attaque. Personne ne va me chercher, je prends rapidement de la distance et c’est à ce moment là où j’aurais une grosse pensée pour le félin et ses échappées solitaires de malade en me disant et si je faisais comme les costauds du CAC ???.... Me voilà donc parti dans un long raid solitaire avec mes deux pauvres bidons déjà à moitié vide au bout de 10 tours.  L’écart va vite monter vers les 45 sec mais je ne parviendrai pas à prendre plus. Derrière un petit groupe de 4 a réagi. A 6 tours de l’arrivée, on m’annonce d’un coup que l’avance a chuté à 25 sec. En plus des crampes qui approchent, je prends un bon coup au moral et décide d’attendre le groupe de derrière. Je vais l’attendre longtemps, bien longtemps… à tel point que je me demande si j’ai pris la bonne décision ou si l’écart était réellement si faible… Bref, peu importe. Les derniers tours se font donc au sein d’un groupe de 6-7 coureurs, certains étant revenus de l’arrière entre temps.  A deux tours de l’arrivée, le futur vainqueur met un bon sac. Personne n’aura les jambes pour le suivre. Puis deux autres coureurs s’intercalent. Dans la dernière bosse, je mets une dernière attaque sans trop y croire. J’évite de peu la crampe mais parvient à fausser compagnie au restant du groupe. Je viens prendre la 4^ème place au scratch et 3^ème dans la caté 1-2. Quelques regrets d’avoir couru comme un cadet car les jambes étaient vraiment bonnes, il y avait clairement mieux à faire.

Grand prix cycliste de la grenette : pas un temps à grelotter !

En ce dimanche 14 juillet, Antoine et Phil avaient bien l'intention de faire parler la poudre dans le peloton cycliste. C'est du coté d'Annecy qu'ils se sont rendus pour le grand prix cycliste de Metz Tessy en 2-3-J. Du bon niveau avec les meilleurs de la région mais aussi un terrible adversaire : la chaleur. Sans possibilité d'avoir de ravitaillement, c'est dans une grosse galère que se lancent nos deux compères pour un circuit de 5.5 km à parcourir 17 fois avec une sacré bosse à parcourir à chaque passage sur la ligne.
Avec toute son expérience de courir cycliste FFC, Antoine brouille les pistes en partant en mode cyclo avec des bouteilles d'eau minérales dans les poches. Une bonne tactique pour tromper l'adversaire (mais qui peut il encore tromper maintenant qu'il est connu dans la France entière ?...). Néanmoins, 2 courtes nuits les deux jours précédents ne le mettent pas dans les meilleures conditions.
Le début de course se compose de multiples attaques mais rien ne se dessine très clairement. La sélection se fait par l'arrière. Phil et Antoine doivent boucher des trous, un exercice qui peut s'avérer agréable dans certaines conditions mais nettement moins quand il s'agit d'un peloton lancé à 50 à l'heure. Dans ces cas là, le "Antoine Angot" s'avère très utile. Après avoir pété dans la bosse, il suffit d'appuyer sur le bouton pour rentrer en 2 minutes sur le grou
pe de devant. Un petit merci au passage.
Sur la fin de course, 3 coureurs se font la male mais seront partiellement repris. Au final, après toujours d'éternelles contre attaques, 3 nouveaux coureurs finiront détachés à l'avant du peloton. Antoine et Phil garderont contact avec le groupe de tete réduit sur la fin à une vingtaine d'unités. Antoine, ne sentant plus le bout de ses doigts, décide que la limite vient d'etre franchie et bache. Phil terminera la course dans le premier peloton avec des crampes et prendra la 16ème place. Avec un peu plus d'eau dans le corps, il y avait une bonne gache à aller chercher à savoir une 4ème place. Dommage.
Sur le retour, nos deux guerriers ne se sont pas laissés abattre et ont craqué pour un gros magnum l'histoire de faire le métier jusqu'au bout !

PS : pardon pour ce jeu de mot pourri mais j'avais pas mieux.

source : cran cycles. Nos deux CACiens dans la bosse

Championnat National FSGT:le félin passe à côté

Dimanche 14 juillet, jour de la fête nationale se déroulait le championnat de France FSGT à la Guiche en Saône et Loire. Je me présente seul du Cac(le félin)mais accompagné par deux autres savoyards. Nous sommes 110 coureurs au départ pour 96km(parcours à faire 7fois) avec tous les champions départementaux et régionaux donc du très beau monde que nous avons côtoyé lors de nos différentes courses à étapes Fsgt.
Le départ est rapide et une échappée de 5 se forme avec des favoris ,personne ne bouge alors je décide de partir à la chasse et comme d'hab personne ne viens avec moi. Je ne ferais pas la liaison et le peloton reviendra sur ces 5 échappées. Le reste de la course sera une succession de petites échappées avec les différents favoris dont je ferais partis mais rien n'aboutira. Et à deux tours de la fin 4 hommes se détacheront et n'étant pas marqués fileront vers la victoire ,à noter qu'un des mes collègues savoyards en fait parti et finira 4ème. Moi j'essaye encore quelques attaques mais personne du petit peloton restant me laissera partir. Le moral étant dans les chaussettes je finirais au cul du peloton et apprendrais à l'arrivée que j'étais un dossard très surveillé!
le félin

Grimpée de l'Alpe d'Huez

Comme tout les ans, au lendemain de la marmotte, une grimpée chronométré est organisée dans le célèbre montée de l'Alpe d'Huez, et cette année je décide de m'y aligner, je serai donc d'unique représentant du CAC pour cette montée, une énorme pression repose donc sur mes frêles épaules.
Près de 250 partant des 4 coins de l'Europe, du haut niveau.
Je connais bien cette montée et je sait comment la gérer, n'ayant pas eut le temps de m'échauffer, je décide donc de partir prudemment mais sans pour autant perdre trop de temps, et de hausser le rythmes après passer le village de"La garde".
Je termine donc a la 35eme place, a moitié satisfait car un dérailleur capricieux m'a forcé a monter avec un braquet mal adapté et qui je pense me coûte du temps.
A noter que la descente ne c'est encore plus mal passer puisque j'ai percé a l'avant et à l'arrière et que tout le nécessaire pour réparer était dans la voiture.

Week-end dromois

 CE Week-end, le CAC (et un intrus...) s'était donné rendez-vous dans la Drôme. Non pas pour accrocher un dossard mais pour une jolie sortie collective suivi d'un bon barbecue !

Mathis : l'homme de l'ombre du CAC ....

Pour le samedi, il était prévu un sortie dans le Vercors, mais au vue du temps menaçant il a été décider de filer plus au sud, dans la drome provençale via le col de la chaudière (Eh oui!). Après une jolie montée et descente (notamment de Philou). Nous nous somme dirigé vers Dieulefit via Crupie. Les relais passe bien malgès un vent bien présent. Finalement le retour ne ce fera pas par la face sud de la Chaudière, toujours a cause d'un ciel bien gris sur les sommets. Cela ne fut pas pour déplaire a tout le monde!

Parcours:


Le deuxième jour une petite sortie c'est faite. Au programme un tour dans la vallée puis un retour via Beaufort et le col de croix. C'est l'occasion pour tout le monde d'évacuer les excès la veille au soir ....

Parcours :



le WE en résumé :

De l'alcool un peu (il faut bien boire les bouteilles gagnées non ?!?)
Des cacahuètes beaucoup ( faut bien manger non ?!?)
Du vélo passionnément (Faut bien évacuer non ?!?)
Des rires à la folie (faut bien se marrer non ?!?)
de la mauvais humeur pas du tout ( sauf peut être mathis après mon "petit relais" ...)

Grimpée de Savoyères

Ce samedi 22/06 le SCALE Echirolles organise sa traditionnelle grimpée de Savoyeres, cette année encore la distance est rallongée de quelque centaines de mettre pour atteindre 8km pour une pente comprise entre 8 et 10%.
Les costaud sont présent (Gallego, Bouchard, Costechareyre, Ledac...) et cette foie ci le CAC est représenté par Phil et Fabio qui prennent le départ avec des ambitions.
Au final il termine tout les 2 dans le top 10 avec respectivement les 6eme et 10eme place au scatch et la 2eme place dans leurs catégorie.

GP Theurtheville- Hague 2.3.J FFC

Profitant de vacances au cœur des terres de mes ancêtres, je (Antoine) me suis inscrit a une course se déroulant non loin. Plus précisement entre la centrale de Flamanville et le centre de retraitement de la Hague ( dis comme cela, ca fait pas rêver mais c'est une astuce Normande pour écarter les touriste malveillant d'une des plus belle côte de France). Enfin bref, le circuit n'est pas mal. Une jolie bosse ( 1km) se finissant par un petit raidar, le vent également bien présent. Tous les éléments sont donc réuni pour une belle course de mouvement.

Bon je part m'échauffé tranquillement, et la au passage sur la ligne le speaker lance un : " Antoine!" en ma direction. Je regarde derrière en pensant qu'il y a un autre Antoine dans les parrages. Mais l'homme au micro insiste et vient à ma rencontre. Et là il me parle et me lance mon palmarès !! Je suis donc connu dans la France entière ! Il me passe même le micro. Deux banalités plus tard je réenfourche ma monture pour finir mon échauffement. En tous cas ça montre que les speakers normands prennent leur boulot au sérieux, ce n'est pas partout pareil.

45 minutes plus tard le départ est donné. Et d'entrée ca flingue. Des coureurs portent des maillots distinctif pour un espèce de challenge dont cette course est la finale. Je suis donc le maillot de leader (blanc en l'occurence). Manque de bol celui-ci se fait piéger par un groupe de 4 échappée dont  3 du même club (et pas des manchot : un gars du pôle espoir de Chezpasou en partance pour le tour d'IRlnde et un autre qui vient de claquer une 1ère). Le leader réagit vite mais trop tard... Je profite de la bosse pour me méler à ce groupe de contre. Et c'est partit  pour 90 Km de chasse. En effet le groupe de tête nous prends 15 sec par tour. Dans mon groupe tous le monde est taquet (moi compris) pendant une trentaine de bornes. Puis la pression se relâche tout le monde ayant compris que la victoire s'est définitivement envolée. BOn dérriere le peloton (ou ce qu'il en reste) est à plus de 4 min.

Le speaker : " Et le passage d' Antoine sur la ligne" ( True Sory!) )

Dans le final je tiens bon malgrès les attaques du maillots blanc. Au sprint je termine 2nd du groupe, soit 6ème scratch mais premier 3ème caté. Cela me permettra de monter sur le podium et reprendre le micro (Et oui JB !). Une Chitte sur les centrales nucléaires (rapport à ma victoire à Cruas) déride un public relatvement nombreux ( en tous cas plus que part chez nous).

Bref une jolie ptite course, dans une bonne ambiance .

GP de Montrevel en Bresse(FFC 3,Junior): une félinade de plus!

Dimanche 16 juin avait lieu le GP de Montrevel en Bresse dans l'Ain sur un circuit de 8,1km plutôt plat avec quelques coups de cul à parcourir 14fois soit 113km.Nous sommes 90 au départ dont un grand nombre de junior(dont le vainqueur de Sales)et moi(le félin).
Je décide de me glisser dans tout les coups car une partie du circuit est étroite mais aucun n'aboutira et c'est à mi course que le vainqueur de Sales entre en action et attaque .Je pars avec lui mais il est très surveillé donc le peloton revient à chaque fois. Il décide d'attaquer encore une fois et je ne le lâche pas et je vais même le contrer. Et me voila reparti pour une félinade solitaire, personne ne revient sur moi et je prends rapidement du temps sur le peloton jusqu'à 1mn.Je vais parcourir 20km seul mais la chaleur est usante et un contre pointe à 30sec dont je décide d'attendre et même obliger de freiner car l'écart ne diminue pas. Nous sommes donc 8 dans l'échappée pour effectuer les 4 derniers tours. Pour ne pas subir la défaite comme au régional ,j'attaque dés l'avant dernier tour mais ils ne me laisseront jamais partir(j'étais encore une fois le plus fort selon mes jeunes adversaires) donc je me dirige vers un sprint, super! Je me place idéalement en 3ème position et au moment de déboiter à 50mètres de la ligne une vilaine crampe au pied m'empêche de me lever de la selle et je vois encore une fois la victoire m'échappée! Je termine 4ème mais classé 5ème(doublé par Fantômas!).Belle course avec de grosses chaleurs et de grosses crampes et une félinade de plus !

Triptyque du Fontanil : Pierre LEDAC trop fort ! JB : 2ème !

C'est en ayant fait le métier à moitié que je me présente au triptyque du Fontanil. Alors, il est vrai que je ne suis pas en pleine confiance. Mais par rapport à d'habitude, je n'ai pas tout lâché de mon entraînement, alors je nourris quelques espoirs...

Étape 1 : Le prologue.

La route est humide. Alors j'assure mes virages. Je ne prends pas non plus le risque de démarrer trop fort. La seconde partie du circuit se fait à bloc. Le résultat tombe. Je suis second derrière l’archi-favori LEDAC. Jusque là le scénario optimiste est validé.

Étape 2 : la montée infernale du Mont St Martin.

Pour ceux qui ne la connaissent pas, c'est un mur à franchir en 25 minutes environ. Une montée sèche que je n'aime pas trop. Mais si je dois emporter le général, je dois gagner cette épreuve. Hélas, je finis second derrière LEDAC à une dizaine de secondes. Les Watts ne correspondent pas à un grand cru. Dimanche dernier pour battre notre cher ami de TVS, il fallait être au top.

Étape 3 : La course en ligne. 50Kms.

Les jambes sont parties. Je n'aurais pas dû boire un gros verre de vin blanc 1h30 avant le départ. Encore à mon âge, j'accumule de l'expérience... Malgré tout auteur d'un sprint acceptable, je finis troisième.

Bilan : 2^nd au général. Déçu mais LEDAC était plus fort. Donc, il n'y a pas de regrets.

Bravo à Nico BONNEFOND qui renoue avec la victoire, et qui confirme que l'on peut être un bon sprinter même en faisant moins de 55kgs... Naturellement, félicitations à Pierre LEDAC qui a marqué cette épreuve de son incontestable supériorité.

Malheureusement cette journée sera ternie par la lourde chute de Franck PELLISSIER. Le très sympathique coureur de TVS a vraisemblablement plusieurs fractures au niveau du bassin. La convalescence et la récupération de ce genre de blessure sont particulièrement longues et difficiles. J'en ai fait l'amère expérience, et je souhaite à Frank, s'il lit ces lignes, tous mes vœux de bon rétablissement.

JB

GP de Roussillon

Deux Caciens s'étaient donnés rendez vous à Roussillon. Le circuit sur lequel ils allaient affronter 90 autres coureurs ne comportait pas de difficulté particulière si ce n'est deux petite bosse se passant en force.

Dès le départ, Antoine ( Cacien n°1) se faufile à l'avant du peloton tandis que Philou (Cacien n°2 ) défend coûte que coûte sa place préférée celle qui permet d'observer le mieux la course. Au fur et mesure plusieurs groupe se fond et se défond, antoine se mêle à la bagarre mais toujours sans succès. Philou pas dedans décide de mettre un terme à sa course.

Passer les deux tiers de course toujours aucun groupe de coureurs n'a pu échapper à la vigilance du peloton. Antoine lâche ces dernières forces, car la route s'est humidifiée avec le passage d'une ondée printanière, le sprint final risque donc d'être houleux. Finalement deux coureurs (sans caciens) arrivent enfin à prendre la poudre d'escampette à 10 bornes de l'arrivée. Antoine se laisse donc filer en queue d'un peloton qui compte encore une 50aine d'unités. Mais on ne se refait pas. Et Antoine entrevoie une ouverture au pied de la bosse finale et décide de s'y engouffrer, malheureusement la vague se referme et Antoine est obligé de se jeter, vélo compris ,dans le fossé heureusement celui-ci est goudronné sur une petite parti ce qui évite une jolie pirouette au coach.

Bon au final, pas de coureur bien classé pour le CAC, mais on peut pas tous gagner non plus!

Championnat Régional Fsgt : le félin pas 2ème mais 3ème!

Dimanche 9 juin se déroulait le Championnat Régional FSGT à St Haon le Chatel dans la Loire.Je suis le représentant du CAC pour ce circuit de 8km à faire 9fois,un parcours très casse patte avec une partie de cyclo cross.Comme d'hab le ciel est bien menaçant au dessus de ma tête mais pour une fois nous n'aurons qu'une petite averse.
Nous voilà partis avec un peu de retard(30min)et un courageux attaque sur la ligne ,personne ne bouge et dans le deuxième tour j'attaque avec un coureur de Tarare et rejoindrons le fuyard.Et comme en Savoie ,j'étais très attendu ,donc derrière un certain Maublanc revient avec deux autres coureurs et nous formerons donc une échappée de 6.L'entente est parfaite et creusons rapidement au fil des tours pour écarter le peloton à 3m30s au final.
Me sachant surveillé et étant le plus fort de l'échappée(selon les dires de mes compagnons de route) et ne voulant pas aller au sprint,j'attaque dés l'entame du dernier tour mais personne ne me laissera filer ,seul 2 coureurs péteront suite à mes nombreuses attaques.Nous arrivons donc à 4 pour le sprint.N'étant pas ma spécialitée je décide de rouler fort et de lancer le sprint de très loin,tout le monde est à bloc et comme d'hab je verrais me dépasser le sprinteur Maublanc Sylvain qui l'emportera et un autre coureur(champion de france FSGT 2011)et finirais donc 3ème à seulement quelques centimètres du maillot Régional!
Belle course mais j'aurais du attaquer à deux tours de la fin ,je suis un peu déçu mais serais très présent pour le National.Et bravo à Maublanc Sylvain pour qui cette victoire à une saveur très particulière.
le félin

GP de Notre Dame des Millières : le félin éternel second !

Dimanche 2 juin avait lieu le GP de Notre Dame des Millières à côté d'Albertville(Fsgt).Le circuit était de 2km avec une bosse à gravir 35fois pour un total de 950m de dénivelés.Je me présente seul du CAC au départ face aux autres équipes bien représentées.
Dés le départ un homme prend la fuite,il s'agit du deuxième de la course d'Alpespace(remporté par le coach),je le laisse filer et décide quand même d'attaquer pour qu'il n'est pas trop d'avance mais ces équipiers ne l'entendent pas ainsi.Il me faudra jusqu'à la mi course pour arriver à sortir(après une multitude d'attaques!) accompagner d'un coureur de la Léchère qui pètera quelques tours plus tard.Me revoilà parti pour un raid solitaire à la poursuite de l'homme de tête qui pointe à 1mn.
Finalement je n'arriverais pas à revenir totalement et échouerais à 10s de lui, il me manquait un petit tour pour l'avaler.Je finis donc 2ème bien fatigué avec cette bosse qui aura fait mal à tout le monde.
Prochain rendez vous le 9 juin pour le Championnat Régional Fsgt.
le félin

CLM de la Chapelle Blanche

Samedi 25 mai se déroulait en début d'après midi le clm de la Chapelle Blanche long de 9,5km avec 5km de plat et 4,5 km de montée avec l'arrivée sur l'ancien parcours c'est à dire un peu près 300m avec 10% de moyenne.
J'étais le seul représentant au clm pour l'apéro de la journée mais serait rejoinds pour le dessert à Alpespace en fin d'après midi.
Je décide de partir dans les premiers et comme d'hab je prendrais la pluie et le vent.Je me classe finalement 3ème au scratch à seulement 2s du 2ème Perrin M(la motte servolex) et derrière l'habitué Novel Guillaume qui gagnera encore une fois.
le félin

GP alpespace

Ce samedi 25 mai, trois Caciens, Nico ,JB et Antoine, s’étaient donnés RDV dans la zone de l’Alpespace pour le grand prix FSGT du même nom. Nico s’était même permis le luxe de participer au CLM de la chapelle blanche en début d'après midi. Les caciens étaient présents avec des ambitions puisque l’année passée ils avaient bien performé sur cette course.

Un circuit de 4 KM parsemé de rond-points était au programme. Durant le premier tiers de la course aucun coureur n’a pu se détacher réellement, les rares attaques des hommes en rose étaient de suite prises en chasse par le peloton. Finalement JB est parvenu le premier à s’échappé en compagnie de quelques coureurs, vite imité par antoine. A mi-course on retrouvait donc JB et Antoine devant. Nico, suivit comme son ombre par les coureurs du cru, par contre Nico n’est pas parvenu à boucher le trou immédiatement. D’autant que les échappés des autres équipes ont accéléré des qu’ils ont vu , à la faveur d’un rond –point, Nico se rapprocher à moins de 10 secondes de la tête. Mais si Nico n’a pas pu boucher le trou, son raid solitaire en « chasse patate » a permis à JB et Antoine de ne pas collaborer franchement à l’échappé et donc d’avoir pu garder des forces pour le final.

C’est d’ailleurs nos deux Caciens qui mettront  le feu au poudre dans les derniers tours, en attaquant à tour de rôle. C’est finalement Antoine qui tirera son épingle du jeu en se retrouvant en tête avec un autre coureur dans le dernier tour. Le coach déposera son compagnon dans le dernier KM pour aller chercher la victoire. JB prendra la 3^ème  place en réglant le reste de l’échappée au sprint.Et nico fait 8ème.

Belle prestation du CAC qui a presque faillit se retrouver à trois dans le bon coup.

A noter que JB n’a pas encore réglé son problème de porte-bidon…




Article du dauphiné

TGD ETape 4

TGD etape 4 : 80 Km

 

Ce dimanche c'est l'étape reine des grands ducs qui était au programme, dont deux passage d'une bosse avec des portions à plus de 15%. Le contrôle du peloton ayant fatigué les membre du CAC, la stratégie était claire. JB devait prendre les coups dès le début d'étape, en effet comme il était également bien placé au général, les autres équipes devrait prendre leur responsabilité.

Le CAC encore à l'avant

Et dès le départ c'est ce qu'il se passe, JB et Nico ont pris tour à tour toutes les tentatives d'échappée. Mais il faudra 35 km pour qu' un réel écart se fasse, Nico et JB représentaient le CAC parmis les Fuyards. Mais un autre coureur allait faire des étincelles, en effet M. GAUTHIER , vainqueur sortant du TGD, leur faussa compagnie rapidement. Et il était très fort, car l'écart c'est irrémédiablement creusé avec Le groupe de JB et Nico.

JB et Nico en contre 

Derrière Antoine s'est accroché dans les passages les plus dur mais aucune équipe ne veut ou ne peut prendre la poursuite à sa charge. A partir de là M. GAUTHIER, seul car ayant laché le seul coureur l'ayant suivit, continuait de prendre de plus en plus d'avance. Il ira seul vers la victoire.

5 min de débours sur la ligne pour Antoine

4 et 5 minutes après le vainqueur JB, Nico et Antoine ont passé la ligne. Le verdict était connu par les coureurs, le maillot est perdu à la suite d'un gros numéro de GAUTHIER. Le CAC se consolera avec les 2ème (JB) et 3ème (Antoine) place du général ainsi que le classement par équipe (pour la deuxième année consécutive).

Bilan :

 JB et Antoine sur le podium

Passé la déception d'avoir raté l'opportunité au CAC sa première course par étape, le bilan de ce TGD n'est finalement pas mauvais. Deux jours en jaune pour antoine et une grosse perf de JB-urgumov à la planche sur les 3 étapes et deux fois deuxième du TGD. Mais surtout une grosse force collective du CAC, d'ailleurs reconnu par les autres équipes, représenté par une omniprésence durant ces trois jours et courroné par une victoire par équipe

 Le CAC sans conteste l'équipe la plus homogène de ce TGD

Photo : Aurélie Gonet

TGD Etape 3

Etape 3 60Km

Qui dit prise de maillot jaune dit contrôle de la course. Mathis, JB, Nico et Philou ont donc du contrôler les velléités du peloton pour cette 3ème étape. Le parcours était toutefois dénué de grande difficulté sauf dans le circuit final avec une bosse d'arrivée de 300m assez raide.

L'équipe du CAC aux manettes

L vent défavorable n'a pas aidé nos homme en rose

Une fois  que le départ fut donné, les attaques ont logiquement secoué le peloton. Toutefois le CAC a tenu bon, une seul échappée a pu partir et sans aucun coureur dangereux avec elle.

A partir de ce moment les coureurs proches du coach au général ont tenté de le secouer, sans succés. Devant l' échappée est allé logiquement au bout.

Bref, les équipier de luxe ont abattu un beau boulot pour maintenir le coach en jaune ce que n'avait pas pu faire le matin l'équipe du premier leader.

Antoine conserve son paletot jaune

Photo Aurélie Gonet

TGD ETAPE 2

TGD Etape 2 : 55km

Le lendemain du prologue, une étape de 55km tracée autour de Chatillon sur seine attend nos coureurs. La pluie est également de la partie. Heureusement elle a la bonne idée de s’arrêter 5 min avant le départ de la course.

Antoine et JB à l'attaque

Une fois le départ lancé, les attaques fusent. Et dès le 10eme kilomètre une échappée dangereuse se forme. On retrouve à l'avant 8 coureurs dont deux Caciens (JB et Antoine). Le coach est également le mieux classé des fugueurs, il joue donc le maillot. Très vite les fuyards prennent 1 min 30. Derrière l'équipe du maillot jaune n'a pas les reins pour contrôler et l'écart ne cesse de grandir, de plus que devant l'entente est cordiale.

Dans le final, les tentatives de fuite jugulées par Antoine. L'étape va se jouer au sprint, à ce petit jeux JB manque de Jus et c'est un coureur du VS dijonnais

Antoine prend la tête du général

qui s'impose et Antoine endosse le maillot Jaune. Le peloton arrive avec un débourt de plus de 4 min.

Mais l'écart entre les coureurs de l'échappée est encore réduit. En effet un autre coureur (du comité d'alsace) se trouve dans la même seconde que le Coach. Il va falloir contrôler sec pour l'étape de l'après midi!

Le CAC meilleure équipe

Photo : Aurelie Gonet VSD

Tour des Grands Ducs 2013 : Etape 1

Le CAC était de retour ce week-end sur les routes de Bourgogne pour le tour des Grands Duc. Les hommes en rose remettait ainsi en jeu le fameux hibou en bois glané l'année passée. Pour cette édition du TGD l'équipe est composée de Mathis, Nico, Philippe, JB et Antoine.

Etape 1 : prologue de 3 km

Cette année les routes du prologue se faufilaient dans les hauteur de Dijon. Néanmoins il ne s'agit pas d'un prologue traditionnel puisque deux tiers du parcours sont en bosse. A tel point qu'une majorité de coureur partent en vélo classique et sur le petit plateau.

Mathis est le premier coureur du CAC à s'élancer pour le CAC. Il boucle le parcours en 6 min 06.

Mathis en plein effort

JB lui sera crédité d'un temps de 5 min 55, performance que notre JB trouvera très décevante.

JB auteur d'un prologue "moyen" au vu de sa forme du moment

Philou réalise une bonne perf en 5 min 35.

Philou décontracte à l'échauffement

Antoine, un peu gêné par une voiture (mieux que d'autres coureurs qui ont rencontré un bus!), est classé en 5 min 26.

Antoine sur la plaque et en velo de CLM ( quoi ?!? y avait une bosse .....)

Notre Félin, sans échauffement !, mettra 5 min 30 pour relier l'arrivée.

Nico toujours aussi affûté (les mollets!)

Au classement cela donne pour le CAC les places 6, 10, 15 31 et 50. Nos coureurs ratent pour une seconde la place de meilleur équipe. Le premier maillot jaune revient à M. GAUTHIER, le vainqueur de l'an passé qui relègue le second à plus de 8 seconde avec un temps de 5 min 12.

Bilan mitigé pour les Caciens surtout comparé a leur performance de l'an passé, mais il reste encore 3 étape après ce prologue largement de quoi se rattraper.

Championnat Départemental Fsgt Savoie : le félin sacré !

Le félin et le fiston

Ce dimanche 5 mai se déroulait le championnat départemental Fsgt Savoie à Argonay sur un circuit de 4,2km à parcourir 16 fois avec une bonne bosse avec un passage à 16%(soit 68km et 1150m de dénivelé).
Nous étions 40 coureurs au départ pour se disputer le titre ,nous aussi sous le soleil et nous aussi avec le vent dans le nez dans la bosse.
Jusqu'à la mi course le scénario est simple ,attaque dans la bosse et le peloton revient dans le faux plat montant ,je participe aux attaques,aux contres et fais la descente en tête.

C'est donc à mi course que j'accélère dans ce fameux faux plat montant(vent dans la gueule) et prends la poudre d'escampette accompagné d'un coureur de la motte servolex Bertholet Sebastien.Nous nous entendons bien et prenons vite de l'avance ,la course est pliée.
C'est à deux tours de la fin que j'accélère une nouvelle fois dans le faux plat montant et partirais seul à la conquête du titre prenant 1m30s à mon compagnon d'échappé et 3m45s au reste de la troupe.
Je ramène donc la victoire et le titre de champion Fsgt Savoie.
Vivement le TGD avec notre équipe de feu !
le félin

Grand prix FSGT de Commelle Vernay (42)

A défaut de pouvoir me rendre au championnat FSGT Savoie/Haute Savoie, je décide d’aller visiter le pays roannais en me rendant sur la course de Commelle Vernay. Je suis le seul CACien de la partie étant donné l’éloignement.  La boucle fait environ 4 km avec une bosse de presque 500m à l’approche de la ligne à franchir 18 fois. Le vent est présent au sommet de cette colline et va nous freiner sur la fin de la bosse et dans la descente.

Nous sommes presque 70 coureurs pour un départ sous un beau soleil (pour une fois !). Le premier tour sera neutralisé pour chauffer les machines mais dès les fauves lâchés, la vitesse augmente rapidement et déjà les premiers lâchés dans la bosse apparaissent. Toute la course va se résumer à la même chose : des petits groupes d’une petite dizaine d’unité se forment à l’avant mais une fois formés, plus personne ne fait l’effort. Aller chercher les petits groupes reste un bon moyen de travailler la PMA mais ne fait pas gagner la course pour autant.. A environ 5 tours de la fin, un nouveau groupe se forme et prendra cette fois ci le large ce qui m’étonna fortement tant la mésentente régnait.  A 2 tours de l’arrivée,  je pars en facteur dans le faux plat descendant  profitant d’une nouvelle période de flottement. Deux coureurs accrochent ma roue et se mettront enfin à rouler. On creuse donc rapidement l’écart. A 2 bornes de la fin, le futur vainqueur attaque dans le faux plat descendant. Nous hésitons à y aller avec mon collègue d’échappé. Erreur : le gaillard est bon rouleur et va maintenir l’écart malgré l’approche de la bosse. Je pars en chasse seul, parviens à reprendre de la distance dans la bosse mais ce sera trop tard malgré une dernière bosse où les watts ont craché. Je viens mourir à quelques longueurs de lui. Une deuxième place décevante mais les jambes sont là pour le TDG ! Dommage une nouvelle gagne n’est pas passée loin… Ne reste plus qu’à soigner un rhume des foins pour être vraiment  au top.