Ce samedi quatre Caciens s’étaient
donnés rendez-vous pour un tour dans les montagnes de l’Oisan.
Ainsi après un bref échauffement,
Mathis « Padrnos » Bugni, Francky (prêt a remplacé L. Jalabert comme
commentateur sur FTV), Philou « 53*11 » et moi (Antoine) « Blond
mais pas Hollandais pour autant », nous nous somme attaqués à la grimpée mythique
de l’Alpe d’huez. Dès les premières rampe, la foultitude de cyclistes zigzagant
plus ou moins sur le bitume prouve qu’il s’agit là d’une montée particulière.
La première partie s’effectue
sous un train de sénateur par M. Bugni en personne. Peu après la Grave (et un garçon
Hollandais d’à peine 10 ans seul et à la
dérive en plein milieu de la pente …), le groupe rose se scinde en deux, car
Philou et moi maintenons un rythme un peu plus soutenu jusqu’ en haut de la
station. Peu après Mathis et franck, maintenant presque bilingue en Nolandais,
passe la ligne délimitant la grimpée de chrono de l’Alpe. Une fois la jolie
visite guidée de la station offerte par Francky, notre groupe s’est dirigé vers
la jolie route pastorale menant au col de Sarenne. Après une petite grimpée,
notre groupe s’est élancé dans la belle descente vertigineuse vers la vallée.
Quelques kilomètres plus loin et
quelques centaines de mètres plus bas, nous somme arrivés au barrage du Chambon.
Et après avoir montée l’Alpe d’Huez, notre petit groupe est motivé pour montée
dans la station voisine et rival des 2 Alpes. Dès le départ, j’imprime un rythme
relativement soutenu fatal à Mathis, puis a Franck (qui cherche encore le signal
de mon P2M ). Seul L’aigle de ST-Geoirs (oui Philou aime qu’on l’appelle comme
cela) reste collé à ma roue. Le bougre profitera même de mon p’tit coup de moins
bien pour me planter a 2km de l’arrivée, j’irais toutefois puiser dans mes réserves
pour venir lui faire le panneau d’arrivée des 2 Alpes (on n’attend toujours la
photo finish !).
Une fois tous le monde regroupé,
un ciel menaçant nous incite à se diriger promptement vers le retour par une descente
ponctuée par un joli passage au cœur des falaises de l’Oisans. UNE fois dans la
vallée les relais s’enchainent vite pour éviter l’orage. Finalement on ne
prend la grêle que pour le retour (en voiture) sur Grenoble, donc au final
une belle journée de Cyclo !
hahaha le meilleur de tes compte-rendus !
RépondreSupprimerPavel
Pas mal du tout en effet.
RépondreSupprimerEt ouais il ne faut jamais relacher la pression quand il y a la machine à watt Antoine Angot pas loin derrière.
L'aigle de saint geoirs